Le procès d’un passager Britannique soupçonné d’agression sexuelle sur une hôtesse de l’air à nouveau renvoyé.
En effet, l’audience devait se tenir ce jeudi 9 février à 14h, au tribunal correctionnel de Nantes.
L’audience du sexagénaire qui avait provoqué un atterrissage d’urgence d’un avion à l’aéroport de Nantes devrait se tenir le 9 octobre prochain.
Agression sexuelle sur une hôtesse de l’air : le deuxième renvoi
Il s’agit là d’un deuxième renvoi. En attendant un 3ème ?
Le procès de Britannique âgé de 66 ans accusé d’agression sexuelle sur une hôtesse de l’air, a été reporté une nouvelle fois au 9 octobre 2023.
Il devait comparaître le jeudi passé devant le tribunal correctionnel de Nantes, à 14h. Aucun des 9 dossiers qui étaient programmés au cours de cette séance n’a pu être jugé.
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Agression sexuelle sur une hôtesse de l’air provoqué un atterrissage d’urgence
Le britannique avait provoqué un atterrissage d’urgence lors d’un vol reliant Leeds à Alicante le 12 novembre dernier. Selon le site Ouest France , l’homme, en état d’ivresse manifeste, avait passé sa main sous la jupe d’une hôtesse de l’air avant de lui toucher les parties intimes. Initialement programmée le 13 décembre, l’audience avait été reportée en raison d’un document d’expertise psychiatrique manquant. Comme la fois précédente, le maintien sous contrôle judiciaire du sexagénaire a été acté.
Maître Hennebois, l’avocat de la défense, a indiqué que son client n’était pas sûr d’être présent dans huit mois pour des raisons financières. Averti en amont, le prévenu a pu annuler sa venue mais a dû payer des frais d’annulation «d’environ 120 euros par jour», qui représenteraient presque la moitié de son salaire mensuel.
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«Nous ne sommes que 6. Nous devrions être 8 pour arriver à absorber les 14 audiences hebdomadaires qui doivent être tenues», a détaillé la présidente du tribunal, ce jeudi après-midi. Parmi eux , «deux juges remplaçants viennent déjà en renfort dans ce service lourdement dégradé», a poursuivi la magistrate, en soulignant l’aspect «inconfortable» de cette décision, aussi bien pour les justiciables que pour les professionnels.
