Étudiants algériens en France : la flambée des frais de scolarité
Beaucoup d’étudiants dans les étudiants algériennes, se voit continuer leurs études supérieures à l’étranger plus précisément dans les plus grandes universités de France.
Car ces dernières sont connues pour les moyens dont elle se dispose afin d’avoir un très bon cursus. Mais, dernièrement les étudiants, en particulier les Algériens font face à un problème, qui est, la flambée des prix de scolarité, précisément à l’université du Havre.
D’ailleurs le collectif des étudiants à indiquer de ne pas avoir été prévenu de cette hausse soudaine des frais de scolarité.
Les étudiants algériens en France font face à la flambée des frais de scolarité
Anis Guers, un étudiant algérien en Master 1 qui poursuit ses études en électronique, énergie électrique et automobile, en France.
Il a été prévenu de l’augmentation des frais de scolarité que 2 mois après son inscription validée. Pour son master à l’université du Havre l’étudiant algérien a dû payer 4000 €, alors ce dernier s’inquiète sur sa situation financière vu que l’argent qu’il a en sa possession lui permet de tenir juste quelques mois. Et vu qu’il n’a encore obtenu son titre de séjour, le travail n’est pas envisageable.
Afin de mettre un terme à cette situation, les étudiants étrangers se sont adressés au président de de l’université par une lettre dans laquelle il mentionne être près de 250 étudiants à vivre le même calvaire et leur insuffisance à payer ses frais de scolarité.
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La réponse du président de l’université du Havre
Le président de l’université du Havre a répondu à la lettre des étudiants étrangers, en expliquant que cette hausse des prix de scolarité et dû à un arrêté ministériel au niveau national et dans lequel, le nombre d’étudiants pouvant bénéficier de l’exonération partielle ne dépassera pas 10 %.
Le président a ajouté que les étudiants n’étaient pas prévenu trop tard. Une réponse qui déplaît aux étudiants qui ont décidé de collecter des emails, lesquels vont servir comme preuves qu’ils n’était pas au courant de l’information.
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