Le marché d’automobiles a connu une flambée terrible ces dernières années suite à la suspension de l’importation .
Les algériens attendent depuis longtemps le feu vert pour l’importation des véhicules dans l’espoir d’avoir un véhicule à un prix raisonnable.
Cinq agréments accordés à différents concessionnaires algériens, a indiqué le site Auto DZ.
Le meme sute a dévoilé une date à laquelle l’importation de la première voiture en Algérie devra avoir lieu précisant que les agréments portant sur l’importation de voitures neuves seront distribués au cours de ce mois de septembre.
L’arrivée de la première voiture en Algérie, selon les spécialistes, devra s’effectuer à la mi-janvier 2023. Elle concernera les véhicules européens. Quant à celle des engins asiatiques, elle aura lieu au cours du mois de février prochain, de l’avis des experts.
Par ailleurs, Saad Sellami, expert en économie et membre du Centre algérien de prospective économique et de développement de l’investissement entrepreneurial, a apporté des explications quant à la situation que traverse actuellement le secteur automobile algérien.
Le quotidien El Hiwar Dz les a relayées. Dans le détail, Saad Sellami a souligné que la suspension des importations de voitures ne s’agit pas d’une décision prise par l’Algérie. Elle découle, a-t-il indiqué, des puissances dominantes. « Des pays puissants se sont emparés du marché africain », a-t-il encore déclaré.
Il a ajouté, dans le même sillage, que le président Tebboune a pris une décision importante dans le secteur des hydrocarbures. Il a, toujours selon les dires du même locuteur, interdit l’importation de carburant. Une mesure qui a bouleversé l’ensemble des pays qui se sont appropriés le marché africain de l’automobile et celui du carburant, a conclu Sellami.
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