L’Union Européenne (UE) s’est penchée depuis quelques mois sur la numérisation de la procédure de demande de visa Schengen. Le projet avance décidemment bien et son application est annoncée d’ailleurs pour les quelques porochaines années.
Le projet portant la numérisation des demande de visa Schengen a été annoncé il y a plusieurs mois. Le dit projet a prit d’ailleurs forme et avance bien. En juin dernier, un accord a été trouvé entre le Conseil et le Parlement européen sur les régles portant l’application de la dématérialisation de la procédure.
Visa Schengen: un accord conclu en juin dernier pour la numérisation de la procédure
« Les négociateurs du Conseil et le Parlement européen se sont mis d’accord provisoirement sur des règles visant à numériser la procédure de visa. », avait annoncé en effet l’UE dans un communiqué.
Précisant que « le règlement instaure la possibilité de demander un visa en ligne et remplace la vignette-visa actuelle par un visa numérique ». L’UE a indiqué par ailleurs que « l’objectif de la proposition est double: rendre la procédure de demande de visa plus efficace et améliorer la sécurité de l’espace Schengen« .
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Visa Schengen: ce que propose le nouveau dispositif
L’Union Européenne a souligné qu' »après leur adoption, les règles mettront en place une plateforme de l’UE pour les demandes de visa. À quelques exceptions près, les demandes de visas Schengen seront introduites par l’intermédiaire de cette plateforme, un site web unique, qui les transmettra aux systèmes nationaux en la matière ».
Il va sans dire que ce dispositif est très intéressant et beaucoup plus pratique que le systhème actuel. Un systhème qui génère de longues attentes des demandeurs et surtout un trafic en lien avec les rendez-vous qui ne cesse de prendre de l’ampleur.
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Visa Schengen: numérisation à partir de 2025?
A quand cependant la mise en place de cette plateforme numérique? Cela ne devrait tarder en fait. Une source officielle du Parlement européen a indiqué au site Euractiv que la « proposition devrait être officiellement approuvée en septembre, après l’examen juridique ». Affirmant que c’est l’UE qui développera l’application et qui la mettra en service.
« La Commission européenne en déterminera la date de lancement. Nous prévoyons une utilisation obligatoire de l’application probablement à partir de 2031 ou 2032 et une utilisation volontaire à partir de 2025 », précise la même source.
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