AAH 2025 de CAF – En France, l’Allocation aux Adultes Handicapés (AAH) est une subvention accordée par la Caisse d’Allocations Familiales (CAF), sous certaines conditions aux personnes en situation de handicap.
Afin de bénéficier de ce fameux coup de pouce, le demandeur doit satisfaire certaines conditions. Parmi, les critères, figure le taux d’incapacité. Ce dernier évalué, par :
- La Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées (CDAPH).
Une évaluation qui repose notamment sur :
- L’analyse des effets du handicap dans la vie quotidienne de l’allocataire.
Les conditions d’éligibilité à l’Allocation aux Adultes Handicapés
En effet, afin de prétendre à l’Allocation aux Adultes Handicapés (AAH), versée par la Caisse d’Allocations Familiales (CAF), le demandeur doit :
- Remplir certaines conditions.
Parmi, les conditions d’éligibilité on retrouve :
- L’âge, en effet, le demandeur doit être âgé d’au moins 20 ans ou 16 ans s’il n’est plus à la charge de ses parents.
- Résider sur le territoire Français depuis au moins trois (3) mois.
- Les plafonds de ressources en vigueur qui doivent êtres respectés.
Néanmoins, l’évaluation du taux d’incapacité de demandeur reste un élément central du processus. En effet, afin de recevoir le montant maximal, le taux d’incapacité doit être de 80 % ou plus.
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En revanche, dans le cas d’un taux d’incapacité compris entre 50 % et 79 %, le demandeur peut obtenir l’allocation sous réserve :
- D’une restriction substantielle et durable d’accéder à l’emploi.
AAH 2025 de CAF : Comment évaluer le taux d’incapacité ?
En effet, l’évaluation du taux d’incapacité de demandeur repose sur :
- Une analyse de l’impact du handicap sur sa vie et son accès à l’emploi.
Ainsi, il est essentiel que les effets du handicap sur la personne soient mesurables pendant au moins un an après la demande de l’allocation.
La Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées (CDAPH), se base sur :
- Un guide-barème précis inscrit dans : Le Code de l’action sociale et des familles.
Un barème qui prend en compte plusieurs critères notamment :
- La déficience, qui correspond en effet, à l’altération des fonctions : Psychologiques, physiologiques ou anatomiques.
- L’incapacité, qui mesure la perte partielle ou totale de la capacité de réaliser des activités dans le quotidien.
- Le désavantage social, qui reflète en effet, les limitations ou l’impossibilité d’accomplir des rôles sociaux habituels en fonction de : L’âge de l’allocataire, de son sexe et de son contexte socioculturel.
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Donc, l’évaluation de taux d’incapacité ne se limite pas à un diagnostic médical. En effet, elle prend en considération :
- Les conséquences réelles du handicap dans la vie quotidienne de demandeur.
Parmi, ses conséquences on peut citer :
- L’accès à l’emploi.
- La participation à des activités sociales.
- L’intégration dans la vie professionnelle.
Donc, les décisions prises par la Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapées, en particulier en ce qui concerne le taux d’incapacité, peuvent :
- Avoir des conséquences significatives sur les personnes en situation de handicap.
En effet, dans certains cas, des bénéficiaires de l’allocation peuvent voir :
- Leur droit supprimé malgré des handicaps lourds.