Dans une affaire sordide à Paris, une mère de famille de 27 ans est soupçonnée d’avoir vendu sa fille à un ami de la famille de 70 ans pour 90 000 €. De ce fait, l’homme s’est retrouvé en détention provisoire pour abus sexuels sur mineurs et traite d’être humain commise à l’égard d’un mineur.
Affaire sordide à Paris : Une mère de 27 ans suspectée d’avoir vendu sa fille
Le Parisien a rapporté l’histoire de la mère de famille de 27 ans qui aurait vendu sa fille pour 90 000 euros. En effet, la femme a décidé de vendre sa fille à un homme de 70 ans actuellement en prison, dans l’attente de son jugement pour agression sexuelle sur mineur et traite d’être humain commise à l’égard d’un mineur.
De plus, la mère de famille a également été emprisonnée le 19 février dernier pour cette sordide affaire à Paris.
En particulier, la jeune fille de 12 ans se retrouve échangée contre une de l’argent à un soi-disant « ami » de la famille. Le retraité de 70 ans souhaitait également s’adonner aux caresses des enfants avec l’accord des parents.
Cependant, l’incident a éclaté dans un cinéma du 12e arrondissement de Paris le 19 février lorsque des employés ont remarqué un geste inquiétant. Le septuagénaire était en train de caresser les seins de la petite fille tout en l’embrassant. Toutefois, la mère qui se tenait à côté n’a pas semblé surprise lorsque les employés l’ont averti de la situation.
Au fait, elle a répondu volontiers, sans la moindre appréhension qu’il s’agit d’un ami de la famille.
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Affaire sordide à Paris : Le père de famille toujours en cavale
Effectivement, dès l’arrivée de la police, le père de la fillette de 12 ans s’est enfui avec l’enfant. La mère de famille de 27 ans soupçonnée d’avoir vendu sa fille pour 90 000 euros se retrouve en garde à vue et le vieil homme dans les locaux de la Brigade de protection des mineurs.
Apparemment, le retraité, inconnu des policiers, aurait avoué avoir embrassé la petite fille et caressé ses seins. Cependant, il a souligné qu’il ne s’agissait que de « signes d’affection », sans aucune méchanceté et surtout, sans actes sexuels. Il a aussi ajouté qu’il considérait la fillette de 12 ans comme sa propre fille.
D’autre part, les enquêteurs ont découvert que l’homme avait payé les parents pour qu’ils puissent se livrer à l’abus. Résultat, la retraitée toulonnaise s’est retrouvée en détention provisoire pour abus sexuels sur mineurs et trafic d’êtres humains.
Enfin, l’homme ne fait pas partie d’un réseau pédophile, selon ce qu’a précisé le magazine le Parisien. Pourtant, « beaucoup de travail reste à faire dans le cadre de la directive et des zones grises doivent être clarifiées ».