Chèque carburant – La France traverse des moments difficiles cette année à cause de la crise économique et l’inflation, les prix des produits de consommation ont enregistré des augmentations sans précédentes. Le pouvoir d’achat des Français ne cesse de dégrader, beaucoup de Français rencontrent des difficultés à rejoindre les deux bouts.
Les prix des carburants ont encore flambé ces derniers mois, beaucoup d’automobilistes Français aimeraient bien recevoir une aide de gouvernement Français et ce, afin de faire face à ces augmentations. La question qui se pose actuellement : Faut-il s’attendre au retour du chèque carburant ?
Chèque carburant : Un précieux coup de pouce aux moments de crise
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Face à l’augmentation du prix du carburant, les automobilistes Français ne rêvent que d’une chose, le fameux chèque carburant. Pour le moment aucune perspective de baisse des prix de carburant ne se profile à l’horizon.
La hausse des prix à cause d’une conjonction de facteurs défavorables. Ces derniers pèsent lourdement sur le coût du litre de carburant. D’une part, l’UE (Union Européenne) maintient toujours son embargo sur le pétrole russe, privant donc le marché européen d’une source importante d’approvisionnement.
D’autre part, les Etats membre de l’OPEP ont réduit leurs quotas d’exportations, créant donc une pénurie artificielle. Sans oublier également la hausse de la demande aux carburants, notamment pendant la période estivale. Ils s’ajoutent à tout ça les taxes.
Il faut savoir que les taxes en France représentent 60 % du prix du carburant. Ces taxes restent inchangées malgré les protestations des usagers. Le gouvernement Français fait la sourde oreille à ces protestations et refuse de consentir le moindre effort afin de soulager le porte-monnaie des Français.
Dans ce contexte, la fameuse indemnité carburant ne peut être qu’un coup de pouce précieux pour le pouvoir d’achat des Français. La question qui se pose : est-il possible que le gouvernement Français distribue une nouvelle vague de cette aide ?
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Prix carburant : L’Etat Français entame des négociations avec les distributeurs
Pour le moment, aucun coup de pouce en vue. Pourtant, face à la hausse des prix des carburants, les automobilistes français demandent au gouvernement Français un geste similaire à la ristourne accordée l’an dernier (2022). Mais l’exécutif reste toujours sourd à leurs revendications.
À la place, le gouvernement Français se contente de solliciter les distributeurs afin qu’ils réduisent leurs marges. Cette dernière est déjà faible, elle est de 1 % à 3 % en moyenne. Quelques distributeurs ont accepté de jouer le jeu, comme Leclerc ou Total Energies, qui a plafonné ses prix.
Mais pour les automobilistes, ces mesures sont insuffisantes et ne compensent pas l’impact de cette augmentation sur leur budget. Donc, le gouvernement Français va-t-il céder à la pression et rétabli un chèque carburant ?
Chèque carburant 2023 : Faut-il s’attendre au retour de cette prime ?
Alors que la France traverse une période difficile à cause de la crise économique et l’inflation, le gouvernement Français ne semble pas disposé à rétablir l’aide pour le carburant. Mais, il ne faut pas encore perdre l’espoir, parce que rien n’est impossible en réalité.
C’est du moins ce qu’a déclaré le délégué général de la Fédération Française des Combustibles, Carburants et Chauffages, Frédéric Plan, sur Europe 1. Selon lui, le chèque carburant serait une solution très simple et efficace pour les foyers modestes.
Mais cette fameuse prime qui peut soulager le pouvoir d’achat des citoyens Français dans le besoin, ne figure pas dans l’agenda du gouvernement Français. Reste à voir si l’État Français va décider de mettre la main à la poche.
Il faut noter que cette aide pour le carburant est d’un montant de 100 euros, elle est versée aux individus qui utilisent leur voiture afin de se rendre sur leur lieu de travail. Pour bénéficier de ce coup de pouce, il faut avoir un revenu fiscal de référence inférieur à 14 700 euros.
Donc, ce sont environ dix (10) millions de Français qui ont bénéficié de cette aide, soit la moitié des foyers les plus modestes.
