Le chèque alimentaire que tous les Français attendaient depuis la promesse faite par le président de la République Emmanuel Macron, semble enfin voir le jour prochainement. Mais avant d’être officiellement mis en place, ce nouveau dispositif fera l’objet d’une phase d’expérimentation. Néanmoins, pour le moment les modalités précises de son attribution ne sont pas encore connues. Une chose est sûre ce dispositif concernera un public diversifié.
Le chèque alimentaire pour répondre à une urgence alimentaire
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Donc, à partir de la rentrée 2024, une prime alimentaire sera introduite en France, et ce, afin de soutenir les individus qui rencontrent des difficultés financières dans leurs quotidiens. Le montant de ce coup de pouce de gouvernement Français est de 50 euros.
Ce nouveau dispositif pour l’alimentation a pour but de faire face à l’inflation qui a engendré une hausse importante des prix des produits alimentaires. C’est d’ailleurs l’une des grandes préoccupations des familles à revenu très modeste.
La prime alimentaire : Un coup de pouce financier pour les Français en difficulté
La hausse des prix des produits alimentaires constitue un grand problème pour les familles Françaises à faibles revenus. La crise sanitaire due au Covid19 ainsi que l’inflation galopante, ont forcément aggravé la situation en France.
Les longues files d’attente lors des distributions alimentaires peuvent en témoigner des difficultés que rencontrent les ménages en France. Par conséquent, ce nouveau dispositif va concerner un public diversifié, incluant donc :
- Des étudiants.
- Les femmes enceintes.
- Les femmes ayant des enfants en bas âge.
- Des familles ayant des difficultés à équilibrer leur budget.
Face à la gravité de la situation, le conseil départemental de la Seine-Saint-Denis propose une aide pour l’alimentation. Ce coup de pouce sera mensuel, il vise à soulager les foyers à revenus modeste.
Le montant de cette aide est de 50 euros par personne et elle concernera un millier d’individus éligibles. Cette nouvelle initiative intervient dans le cadre du projet de gouvernement Français « Mieux manger pour tous ».
L’objectif de ce dispositif est d’assurer une alimentation de qualité et ce, malgré les difficultés financières. Le président du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, estime que le problème de l’alimentation est une préoccupation sociale très préoccupante pour de nombreuses familles à faibles revenus.
Le chèque alimentaire fera l’objet d’une expérimentation
Avant d’être officiellement instauré, ce dispositif pour l’alimentation fera l’objet d’une phase d’expérimentation. Cette dernière est prévue pour une durée de six mois et ce, à partir de début de l’année prochaine (2024). En ce qui concerne, les modalités précises de l’attribution de ce coup de pouce pour l’alimentation ne sont pas encore définies pour le moment.
Néanmoins, les individus ciblés par cette aide financière sont :
- Les ménages qui se trouvent en situation de précarité.
- Les étudiants.
- Les femmes enceintes ou celles ayant des enfants en bas âge.
Le chèque alimentaire va soulager pas mal de gens
Il faut noter que, le président du conseil départemental de la Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel n’est pas le seul à avoir partagé son opinion sur le fameux chèque alimentaire. Les acteurs sociaux de la région de la Seine-Saint-Denis, tels que la Croix-Rouge, saluent également cette nouvelle initiative, il la considère comme une nécessité dans ces moments de crise.
D’ailleurs, Jean-Paul Bertrand, directeur territorial de l’action sociale de la Croix-Rouge, s’exprime sur cette question, il déclare que : « On a eu une augmentation de plus de 20% d’individus qui sont dans la précarité. C’est une bonne initiative de la part du conseil départemental, la Croix-Rouge est présente pour aider à mettre en place ce nouveau dispositif ».
Le référent pour l’antenne de la Croix-Rouge à Livry-Gargan, déclare que : « il faut attendre pour voir comment ça sera réparti. Mais il va certainement soulagera pas mal de gens ». Donc, l’expérimentation de cette aide alimentaire d’un montant de 50 euros au département de la Seine-Saint-Denis est accueillie avec impatience par les concerner.
