Afin de soutenir les manages en cette période de crise, la France a lancé plusieurs prestations sociales. Parmi elles, le chèque énergie initié pour aider les familles à régler leurs factures de gaz et d’électricité. Cette allocation est-elle concernée par les restrictions annoncée il y a quelques jours par l’ancien le ministre délégué chargé des Comptes publics ?
Gabriel Attal a suscité une grande frayeur au sein des ménages français, il y a quelques jours, en annonçant la fin de quelques prestations sociales accordées dans la cadre du soutien de l’Etat aux familles démunies.
« Dès lors qu’on doit faire des économies, il faut notamment sortir des dispositifs spécifiques qu’on a mis en place pendant la crise de l’inflation. C’est notamment la politique des chèques exceptionnels, on va mettre fin à cette politique des chèques exceptionnels qu’on a pu mettre en place sur tels sujets pour telle catégorie de Français », a avait indiqué en effet Gabriel Attal.
Chèque énergie: Gabriel Attal sème la panique
L’actuel ministre de l’Education avait évoqué la suppression progressive « du bouclier tarifaire sur les prix de l’énergie ». Expliquant que « Ça veut dire que ça va pas se faire d’un coup d’un bloc et que d’ici à la fin de l’année 2024, notamment sur le bouclier tarifaire sur l’électricité, on va en sortir progressivement. ».
Le chèque énergie est-il concerné par cette disposition? les ménages se sont en effet inquiété d’autant plus que le gouvernement a annoncé une hausse conséquente su la consommation de l’électricité.
Chèque énergie sera t-il réellement supprimé? réponse
Estimée à 10%, cette est qualifiée d’historique « d’autant qu’elle intervient après deux augmentations successives de 4 % en 2022 et de 15 % en début d’année 2023 », estime t-on.
Les ménages français peuvent se rassurer. Le chèque énergie ne sera pas supprimé et sera maintenu du moins pour l’année prochaine. Le cabinet de Gabriel Attal a indiqué en effet à Merci pour l’Info que l’ancien ministre délégué chargé des Comptes publics faisait référence aux chèques exceptionnels. « Il parlait juste des chèques exceptionnels », a affirmé en effet le cabinet.
