marché noir de devise d’Algérie 2023 a pris une grande ampleur. Mais d’après le président de la République qui a déclaré qu’aucun chiffre n’existe sur le véritable montant de ses fonds. Et pour pouvoir faire bénéficier l’économie nationale, il faut éradiquer le Square Port Saïd. Et ainsi tout ce qui traite sur ce sujet, nous en parlerons sur cet article
La sollution pour éradiquer le marché noir de devise d’Algérie 2023:
Près de 90 milliards de dollars circulent dans le marché noir de la devise, selon le chef d’État, Abdelmadjid Tebboune. Et afin de créer la richesse et des emplois, l’économie nationale doit bénéficier de ses fonds, et pour bénéficier de ces fonds, il faut éradiquer le marché noir de la devise.
Lire aussi:Taux de change : dinar , euro et dollar sur le marché parallèle pour ce 26 décembre
Les spécialistes sont totalement d’accord, à condition de créer des bureaux de change, et selon leur propre propos, c’est un projet qui se concrétisera durant les prochains mois, voire prochaines semaines.
La loi relative à la monnaie et au crédit est fin prête à créer des bureaux de change dans le but d’éradiquer ce marché noir de la devise, d’après le ministre de la Justice garde des sceaux, Abderrachid Tabi.
L’objectif de la loi à la monnaie et au crédit:
Lors d’une plénière, le ministre a déclaré que le texte de ce projet est fin prêt et sera présenté aux députés pour débat qui visera à la modification de la loi 05 01 relatives à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Ce projet de loi à la monnaie au crédit a pris plus de temps de prévu car il nécessite un examen approfondi, puisqu’il était prévu que le débat des deux projets se déroule en même temps, d’après les explications de Abderrachid Tabi.
Lire aussi:Taux de change marché parallèle et en banque pour ce mardi 27 décembre 2022
Ce projet de loi à la monnaie et aux crédits sera d’abord soumis aux deux chambres du parlement, et ce n’est qu’après qu’il sera appliqué. Et cette application permettra la fermeture du square Port Saïd, et ainsi la fin du marché noir de la devise en Algérie.