L’importation de véhicules en Algérie est un sujet de préoccupation majeure, notamment pour les consommateurs qui pâtissent des retards et des restrictions administratives.
Ces blocages, dénoncés récemment par l’organisation algérienne de défense des consommateurs « Himayatek »,
soulèvent des interrogations quant à leur origine et leurs conséquences.
Dans un communiqué publié récemment, l’organisation a mis en garde contre les effets graves de cette situation et a appelé à des solutions rapides pour répondre aux attentes des citoyens.
Importation de véhicules en Algérie : Des obstacles administratifs qui freinent les importations
« Himayatek » pointe du doigt des obstacles administratifs persistants qui empêchent certains concessionnaires automobiles de réaliser leur quota d’importation. *
Pourtant, ces quotas leur ont été légalement accordés après qu’ils ont rempli les conditions établies dans le cahier des charges.
Ces obstacles, qualifiés de « pratiques bureaucratiques », ralentissent non seulement le processus d’importation, mais exacerbent également le mécontentement des consommateurs.
Selon l’organisation, ces retards sont dus à des démarches administratives lourdes et parfois arbitraires,
qui privent les concessionnaires de leur capacité à répondre à la demande croissante sur le marché algérien.
Un appel urgent à des solutions concrètes
Dans son communiqué, « Himayatek » exhorte les responsables à agir rapidement pour débloquer cette situation.
L’organisation demande la mise en place de solutions efficaces pour garantir aux consommateurs leur droit à l’acquisition de véhicules dans les meilleurs délais.
Voici ce qu’indique le communiqué :
« Nous faisons officiellement appel aux responsables pour trouver des solutions qui accordent le droit d’obtenir la voiture. Dans un avenir proche, les consommateurs restent ceux qui sont touchés par l’arbitraire de certaines autorités administratives et par les pratiques bureaucratiques, que nous révélerons en temps voulu. »
Cet appel reflète l’urgence d’une intervention pour éviter que cette crise n’affecte davantage un marché automobile déjà fragile.
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