Prime et Allocation de CAF – La situation que traverse la France cette année est très difficile à cause de l’inflation qui touche le pouvoir d’achat des Français. Pour faire face à cette situation le gouvernement Français et la Caisse d’Allocations Familiales ont mis en place une large gamme de primes et d’aides sociales afin de soutenir les familles les plus démunies.
Malgré les difficultés financières que rencontrent les Français durant cette période, certains de ces coups de pouce restent peu connus et sont donc, rarement réclamés. Parmi ces aides se trouve une prime qui est dédiée aux parents d’enfants handicapés.
En effet, chaque année, ce fameux coup de pouce de gouvernement Français est négligé par près de 300 000 parents. Pourquoi le non-recours à cette aide est-il si élevé et que pouvez-vous faire afin d’éviter de passer à côté de cette fameuse aide ?
Les primes et les aides sociales de la Caisse d’Allocations Familiales sont une bouffée d’air frais pour les familles à revenus les plus modestes, notamment en cette période de crise qui est marquée par une inflation galopante.
En effet, la Caisse d’Allocations Familiales a mis en place plusieurs primes et allocations, dont les :
- Les Allocations Familiales (AF), qui sont destinées aux familles avec un (1) ou plusieurs enfants à charge, qui sont âgés de trois (3) ans et plus.
- L’ARS (Allocation de Rentrée Scolaire) ou la prime de rentrée scolaire, elle aide les familles à faire face aux frais liés à la rentrée des classes de leurs enfants.
- L’APL (Aide Personnalisée au Logement), afin de soutenir ceux qui rencontrent des difficultés à payer leur loyer.
- Le RSA (Revenu de Solidarité Active), il assure un revenu minimum aux individus en situation de précarité.
Tous ces coups de pouce sont de grande importance pour des milliers de familles en France, mais parmi eux une prime reste souvent oubliée et non réclamer.
Prime et Allocation de CAF : L’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé est souvent négligée
Il important de noter qu’au cours de l’année dernière (2022), le gouvernement Français a revalorisé les prestations et les aides sociales de 4 %. De plus, en avril dernier (2023), une augmentation de 1,6% a été effectuée, profitant donc à plusieurs millions d’allocataires bénéficiaires. Néanmoins, malgré ces hausses, certains coups de pouce ne sont pas réclamés par ceux qui y ont droit.
Parmi ces aides, en retrouve l’AEEH (Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé). Cette allocation, qui est réservée aux parents qui prennent en charge un enfant en situation de handicap, est souvent négligée et ce, en raison de l’ignorance de son existence.
Selon Mes allocs, ce coup de pouce mensuel d’un montant de 142 euros est oublié chaque année par 300 000 parents, soit donc, 85% d’individus éligibles. Ce non-recours à cette prime représente plusieurs centaines de millions d’euros par an.
Afin de bénéficier de l’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé, il faut répondre aux critères suivants :
- Prendre en charge un enfant en situation d’handicap âgé de moins de vingt (20) ans.
- L’enfant doit présenter un taux d’incapacité supérieur ou égal à 80%.
Il faut noter qu’un simulateur en ligne est disponible sur le site officiel de la Caisse d’Allocations Familiales (CAF) vous permet de vérifier votre éligibilité à ce coup de pouce.
Il est donc très important de prendre conscience de toutes les prestations et les aides sociales versées par la Caisse d’Allocations Familiales pour les familles ayant des enfants en situation de handicap.
Si vous vous retrouvez dans ce cas-là, nous vous encourageons donc à consulter le site internet de la Caisse d’Allocations Familiales et à faire une simulation en ligne afin de vérifier si vous êtes éligible à l’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé (AEEH).
L’ignorance de l’existence de cette fameuse allocation est le principal obstacle à son utilisation. Il est donc très important de sensibiliser davantage les allocataires à ce coup de pouce précieux. L’obtention de l’Allocation d’Éducation de l’Enfant Handicapé peut soulager une partie du fardeau financier des parents.
