En novembre dernier, et lors d’une visite du ministre de l’intérieur français, Gérald Darmanin, l’Algérie avait refusé d’accepter le rapatriement d’un groupe de personnes jugées radicalisées par la France, car ces derniers sont nés en France, et ne sont ni des migrants clandestins, ni des harraga.
A la suite de ce refus, la France a décidé d’agir en réduisant le quota de délivrance des visas aux Algériens, en les limitants aux voyages d’études et d’affaires.
La France vise par le biais de ce chantage à pousser l’Algérie pour qu’elle cède et accepte de rapatrier la liste des individus radicalisés d’origines algériennes.