Le débat sur la création d’un titre de séjour à points pour les immigrés enflamme toujours la France.
Le nouveau projet de loi sur l’immigration en France pourrait inclure une proposition visant à créer un titre de séjour à points pour les étrangers souhaitant s’installer en France.
Titre de séjour à point : proposition de Marc Ferraci
Une proposition a été présentée par Marc Ferraci, membre du groupe Renaissance, qui est pour à un système de points pour évaluer les critères des demandes de titres de séjour.
Les critères pris en compte dans ce nouveau incluent l’appartenance à un secteur en tension, le niveau en français, le diplôme, l’expérience et la qualification du conjoint. Tous ces éléments seront étudiés avant de prendre une décision finale concernant la demande de titre de séjour.
Marc Ferraci pense que ce nouveau système de points permettra se sélectionner mieux les nouveaux immigrés et de changer l’opinion publique sur l’immigration.
Cette nouvelle proposition a été bien accueillie et pourrait être incluse dans la nouvelle loi sur l’immigration qui sera bientôt adoptée.
Cependant, certains Français ont critiqué cette proposition en arguant qu’elle pourrait conduire à une sélection discriminatoire des immigrés.
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D’autres Français estiment que ce système de points ne prend pas en compte les difficultés rencontrées par les étrangers pour s’intégrer en France.
Quoi qu’il en soit, la proposition de Marc Ferraci a suscité un débat animé sur l’immigration en France. La création d’un titre de séjour à points pour les Algériens et les étrangers est une question sensible et complexe, qui nécessite un examen minutieux des avantages et des inconvénients de cette mesure avant d’être adoptée.
En somme, cette proposition de Marc Ferraci pour la création d’un titre de séjour à points pour les Algériens et les étrangers souhaitant résider en France suscite des débats passionnés sur l’immigration. Si certains estiment que cette mesure permettra de mieux sélectionner les immigrés, d’autres craignent qu’elle ne conduise à une sélection discriminatoire.
La question reste donc ouverte quant à l’adoption de cette mesure dans la nouvelle loi sur l’immigration.