Un homme en situation de handicap est mort ce vendredi après avoir été victime d’une agression dans le quartier de la Poterne-des-Peupliers dans le 13e arrondissement de Paris.
L’événement tragique est survenu dans la nuit du jeudi 21 au vendredi 22 juillet. C’est en pleine rue, dans le 13e arrondissement de Paris, qu’un homme handicapé de 49 ans s’est fait agresser. Il a perdu la vie des suites de ses blessures.
Il est mort pour une sacoche. Alors qu’il se déplaçait vendredi 22 juillet aux alentours de 1h20 du matin dans le secteur de la Poterne-des-Peupliers.
Si les secours sont arrivés rapidement sur place pour le prendre en charge, ils n’ont pas pu le sauver. Après avoir reçu de nombreux coups à la tête, l’homme n’avait en effet pas survécu à ses blessures. Sa sacoche avait quant à elle disparue.
Deux ressortissants algériens arrêtés
Une enquête avait tout de suite été ouverte pour «violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner», avant que d’autres informations confirmaient, ce lundi 25 juillet, que l’homme, handicapé, avait été agressé par 5 individus, dont 3 ont été arrêtés.
Les suspects, deux Algériens de 22 et 26 ans, ont été mis en examen pour «vol avec violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner».
Les deux ressortissants Algériens de 22 et 26 ans ont été mis en examen et placés en détention provisoire lundi 25 juillet, conformément aux réquisitions du parquet.
Ils sont soupçonnés d’avoir mortellement frappé un homme de 49 ans pour lui dérober sa sacoche dans le 13e arrondissement de Paris. Une information judiciaire confiée à un juge d’instruction a été ouverte pour «vol avec violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner».
Les derniers mots de la victime
Encore conscient avant d’être transporté à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris 13e), l’homme a expliqué avoir été agressé par plusieurs individus qui l’ont roué de coups pour lui dérober sa sacoche. Il est mort le lendemain des suites de ses blessures. Les deux suspects ont été interpellés peu après les faits par la brigade criminelle, chargée de l’enquête.
