Pour certains passagers, le voyage en avion est très agréable. Cependant, il y a des choses qui font peur que les passagers ne comprennent pas.
Voyage en avion : La sensation de tomber après un décollage
Après un décollage, le moteur de l’avion commence à diminuer de sa puissance provoquant ainsi un sentiment que l’avion vient de tomber en panne et il va s’écraser à un moment ou à un autre.
Il est tout à fait compréhensible que certains passagers deviennent assez nerveux lorsqu’ils combinent la perception auditive d’un bruit de moteur réduit avec la sensation physique de l’avion « tomber ».
En de rares occasions, où on peut voir un avion décollé à toute vitesse. Lorsque cela se produit, le pilote consomme plus de carburant, crée plus de bruit et augmente l’usure du moteur.
De plus, ce
n’est pas bon pour l’environnement, ce n’est pas bon pour les personnes qui vivent et travaillent à proximité des aéroports, ce n’est pas bon pour les feuilles de calcul des comptables car les moteurs doivent être entretenus dès que possible.
En revanche, il considère les conditions du jour et vise à utiliser la piste autant que possible. Cela lui permet d’utiliser de la manière la plus sûre le moins de puissance motrice, c’est ce qu’on appelle la puissance de décollage déclassée.
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Une fois une altitude de sécurité atteinte (généralement 1000 pieds), la puissance du moteur pourra être réduite davantage jusqu’à la puissance de montée. En général, plus la piste est courte et plus l’avion est lourd, plus la variation de puissance des moteurs est importante.
Par conséquent, depuis la cabine, on peut sentir que les moteurs sont tomber en panne, mais depuis le cockpit, c’est juste une modification simple des caractéristiques du vol de l’avion pour la prochaine étape.
Voyage en avion : Inclinaison des ailes
Certains passagers aiment s’assoir à coté de la fenêtre de l’avion. Cependant, il y ceux qui les ailes de l’avion les font peur.
La principale façon de faire tourner l’avion est de faire un tonneau. Roulez autour de l’axe longitudinal de l’avion, comme l’a dit mon ami, inclinez une aile vers le bas et l’autre vers le haut. Cependant, la quantité d’inclinaison de l’aile est bien inférieure à ce que vous pourriez penser. Assis sur l’aile, vous pouvez avoir l’impression que l’avion a effectué un roulis complet de 90° et que l’aile pointe maintenant vers le sol.
Voyage en avion : Inclinaison des ailesLa réalité est que notre angle d’inclinaison (l’angle que nous roulons) dépasse rarement 25°, et ne dépasse jamais 30° en vol normal. En fait, les avions de ligne commerciaux ont des limiteurs de tangage qui empêchent le pilote de voler à plus de 30° d’inclinaison et remettent automatiquement les ailes en palier lorsque l’action du pilote s’arrête.
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Voyage en avion : Remise des gaz
La remise des gaz est pour certaines passagers un moment spectaculaire. Dans la plupart des cas, un passager attend d’atterrir pour prendre un autre moyen de transport, et là retournement de situation, l’avion pointe son nez vers le haut, le pilote remis les gaz et le passager est repoussé dans son siège, l’avion revient dans le ciel.
Une remise des gaz peut être causée par une variété de facteurs, y compris des nuages ou du brouillard réduisant la visibilité de la vue de la piste, des vents forts rendant un atterrissage trop risqué.
Les remises de gaz sont même parfois causées par des passagers en cabine pas assis assez rapidement, obligeant le pilote à interrompre l’approche.
Même si la remise des gaz n’est toujours envisageable, les pilotes sont toujours préparés à cette initiative. A chaque approche, les pilotes parlent entre eux de ce qu’ils prévoient de faire, comment ils vont le faire, mais surtout ce qu’ils vont faire si les choses ne se passent pas comme prévu.
Voyage en avion : regarder la carte et voir les changements d’altitude
Le bruit et les mouvements des avions peuvent être très intenses, en particulier dans les premières minutes après le décollage. Cependant, une fois l’altitude de croisière atteint, le moteur ralenti et se stabilise et continu pendant la majeure partie du vol. S’il s’agit d’un vol court, il restera surement à la même altitude de croisière pendant tout le vol.
Cependant, sur les vols long-courriers, l’altitude à laquelle l’avion est stabilisé après le décollage est rarement la même que celle sur tous les vols.
Sur les longs vols, la majeure partie du poids d’un avion est le carburant dans les réservoirs des ailes, et ce poids limite la hauteur à laquelle il peut monter.
Lorsque le carburant est utilisé, les avions deviennent plus légers et ainsi ils peuvent monter à des altitudes plus élevées et plus économes en carburant. C’est ce qu’on appelle une montée raide.
Comme il s’agit d’une phase de vol parfaitement normale, nous n’alerterons pas les passagers. En revanche, ils vont constater une augmentation soudaine du bruit du moteur, surtout si vous êtes assis à l’arrière de l’avion.
Même si votre corps ne sera peut-être pas en mesure de détecter le nouveau taux de montée, mais si le passager regarde la carte de vol affichée sur l’écran de divertissement, il remarquera sans doute une augmentation de l’altitude.
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