France Travail en 2024 – En début de cette nouvelle année 2024, l’organisme Français Pôle Emploi porte un nouveau nom, « France Travail ». En effet, ce dernier a pour mission d’aider les demandeurs d’emploi en France.
Cet organisme d’aide, aide en effet, ceux qui cherchent un emploi, en leur permettant de toucher chaque mois l’allocation chômage. Mais une mauvaise nouvelle vient d’être annoncée par cet organisme aux demandeurs.
Allocation chômage 2024 : Un changement qui implique de nouvelles règles
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Au début de cette année 2024, Pôle Emploi a changé de nom pour devenir « France Travail ». En plus, les règles pour bénéficier de l’allocation chômage ont changé.
Le but principal de France Travail, est de :
- Simplifier les démarches.
- Assurer le plein emploi.
Le gouvernement Français opère ainsi une restructuration concernant la recherche et l’emploi, visant à :
- Améliorer l’insertion professionnelle.
- Réduire le taux de chômage.
L’organisme vise donc à étendre les compétences de Pôle Emploi et ce, en collaboration avec différents acteurs. Notamment avec : l’État et les collectivités territoriales, afin de :
- Venir en aide aux chômeurs.
- Faciliter leur réinsertion.
Les chômeurs bénéficient ainsi d’un accompagnement personnalisé. En plus, de conseils spécialisés afin de renforcer leurs compétences et s’adapter aux nouvelles exigences du marché du travail.
Afin de faciliter l’accès à un emploi stable, France Travail coordonnera donc les efforts :
- Des conseillers.
- Des entreprises ainsi que des organismes de formation.
Malgré ces grands changements, le système continuera en effet, à fournir des aides aux allocataires de France Travail. Et ce, en versant l’allocation chômage.
Donc, les personnes inscrites à cet organisme bénéficient d’une orientation vers la structure adaptée à leurs besoins. En effet, ils ne sont pas nécessairement accompagnés par un conseiller de cet organisme « France Travail ».
D’ailleurs, l’interlocuteur du demandeur d’emploi peut-être par exemple soit :
- Une mission locale.
- Un travailleur social du conseil départemental.
France Travail, va donc effectuer un diagnostic approfondi auprès du demandeur, permettant son orientation.
En plus il faut noter que, chaque demandeur d’emploi va signer un contrat d’engagement unifié, fondé sur des engagements réciproques.
Ce contrat vient ainsi remplacer soit :
- Le PPAE (Projet Personnalisé d’Accès à l’Emploi).
- Le CEJ (Contrat d’Engagement Jeune) ou le Pacea (Parcours Contractualisé vers l’Emploi).
En plus, une obligation d’au moins 15 heures d’activité par semaine est ajoutée aux chercheurs d’emploi par le parlement Français.
France Travail en 2024 : Mauvaise nouvelle pour les demandeurs d’emploi !
Une nouvelle mesure pour les demandeurs d’emploi en France est en cours. En effet, l’ancien ministre du Travail, Olivier Dussopt, avait déjà évoqué en décembre dernier (2023) son :
- Souhait d’augmenter significativement le nombre de vérifications.
Cette volonté a été réaffirmée vendredi dernier premier mars par, le premier ministre, Gabriel Attal. Et ce, lors d’une visite dans les Vosges. En effet, il déclare :
« Le cap demeure le plein emploi et nous y parviendrons ».
Afin d’atteindre le plein emploi, le gouvernement Français prévoit d’intensifier les contrôles. Et ce, en passant de :
- 500 000 contrôles effectués par Pôle Emploi en 2023, à plus de 600 000 cette année.
Selon le premier ministre Français, cette intensification des contrôles ne s’arrêtera pas là. En effet, il a annoncé l’ambition de tripler le nombre de vérifications chaque année jusqu’à la fin du quinquennat.
Ainsi, en 2027, l’organisme effectuera environ 1,5 million de vérifications par an. Afin de le concrétiser, Gabriel Attal, encourage les partenaires sociaux de France Travail à soutenir cet objectif.
Il est très important de noter que, cette augmentation des vérifications ne concernera pas de la même manière tous les demandeurs d’emploi.
En effet, le premier ministre Français, Gabriel Attal souhaite que les contrôles menés par les agents de l’organisme ciblent les métiers en tension. En effet, l’offre d’emploi pour ces métiers dépasse largement le nombre de candidats.